Mars express
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Le principal intérêt du film d'animation de Jérémie Périn est le monde du futur qu'il décrit : on a envie de se promener à l'infini dans ce décor dans lequel chaque détail mérite l'attention.
Il y a bien sûr les paysages superbes de cette ville construite sous cloche sur Mars, tantôt dépouillés, tantôt très urbains, mais aussi mille merveilles technologiques qui donnent lieu à de belles idées de mise en scène ou de scénario (répliques d'êtres humains, créatures à moitié robotiques, fantômes d'humains décédés revivant dans des machines, reconstitutions vidéos en 3D, chat qui peut changer de peau...).
Cet environnement est particulièrement réussi, tant du point de vue de sa cohérence que de son aspect esthétique, vraiment de toute beauté. L'animation est très réussie.
Pour le reste, Mars express ne présente quasiment pas d'intérêt. Il propose une histoire qui reprend l'ambiance des grands romans noirs américains (j'ai pensé très fort à Dashiell Hammet), appliquée à des thématiques inspirées d'Asimov et de Philip K. Dick. Quelques jours après avoir vu le film, j'ai quasiment tout oublié de ses péripéties.
Difficile de le conseiller, même si je ne regrette pas de l'avoir vu : à vous de voir, en fonction de votre appétence pour la SF d'une part, et pour les films d'animation pour adulte d'autre part.

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Une seule journée aux Utopiales 2014, mais bien remplie.
(Clerks, en 1994, c'était lui), dont la carrière s'est un peu délitée ces derniers temps. Impossible de raconter de quoi il s'agit sans déflorer l'incroyable propos du film, si ce n'est que Smith associe le burlesque, le drame et en un certain sens l'horreur avec beaucoup de brio. Justin Long campe un animateur radio extrêmement vulgaire et haïssable auquel on peut souhaiter mille choses horribles - attitude qu'on regrette vivement quand le pire advient réellement ! Il est longuement question de morse dans le film (l'animal, pas le code avec des traits et des points), pour des raisons assez terribles que je vous laisse découvrir. Au passage, j'ai appris que ce mammifère marin posséde un os dans le pénis (un baculum pour être précis), de 60 cm, mais ceci n'a (presque) aucun rapport avec l'intrigue./image%2F0894743%2F20240202%2Fob_7c1179_undertheskin.jpg)
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La scène d'ouverture de Star trek into darkness, résume assez bien ce que le film sera : un condensé de morceaux de bravoure (la poursuite, l'Enterprise qui émerge de la mer), de trouvailles visuelles (les arbres rouges), de psychologie sommaire mais efficace (la psycho-rigidité et le sens du sacrifice de Spock) et de péripities bien huilées (on ne comprend pas ce qu'on voit tout de suite, mais on prend plaisir à le regarder).
Comment résister au désir d'ajouter la Lituanie à la liste des pays ayant produit des films critiqués sur Christoblog ?/image%2F0894743%2F20210116%2Fob_069dfe_oblivion.jpg)
Cloud Atlas est intellectuellement stimulant et plastiquement gratifiant.
Vu aux Utopiales 2012
Vu aux Utopiales 2011
9 novembre/image%2F0894743%2F20230122%2Fob_e5ee2d_looper.jpeg)
Christoblog sera présent et accrédité pour la troisième fois aux Utopiales, du 8 au 11 novembre, le plus grand festival européen consacré à la SF./image%2F0894743%2F20231223%2Fob_93733f_prometheus.jpeg)

Comme l'année dernière, Christoblog sera présent et accrédité aux Utopiales 2011, du 9 au 13 novembre à Nantes, probablement le plus important festival européen consacré à la science-fiction.
Earthling est un film intéressant, bien qu'imparfaitement réussi.
: Non, et non, et non !
: Mouais, pourquoi pas
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