L'oeil du cyclone
Mais qu'est-ce que Charlotte Rampling est allée faire dans cette galère australienne ?
Tout est mauvais dans ce film, à l'image de la photo essentiellement désespérante qui git sur votre gauche : les acteurs cabotinent, le réalisateur (si l'on admet que Fred Schepisi mérite ce qualificatif) tourne un téléfilm, le scénariste enfile les perles.
Que dire de plus que le film est vain, factice, inutile, prétentieux, précieux et artificiel.
L'idée qu'un prix Nobel de littérature (Patrick White) puisse être derrière ce navet sentencieux me révulse.
Allez, c'est trop d'honneur que de consacrer tant de mots à si peu de chose.
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